Tyrese Gibson se confie au magazine Defy

Eh bien, allons-y avec un peu de chocolat ce matin mélangé avec un peu d’inspiration …

Chanteur, comédien et auteur Tyrese Gibson est à la une du magazine Defy du mois d’Avril 2012. A l’intérieur, il réfléchit sur son enfance et indique avoir hâte d’aller à l’école juste pour mettre en exergue ses succès ainsi que ses défis personnels, marque de sa réussite et de ses réflexions sur l’état actuel de la musique.

Sur son envie
J’étais l’un de ces enfants … J’ai été le plus faible – le faible j’étais. Le plus envieux, celui a la gnack. Je n’ai jamais eu de nouveaux vêtements, jamais. Chaque jour j’allais à l’école juste pour pouvoir manger, et j’espérais que je n’avais pas perdu mon ticket de déjeuner. L’affamé, c’était en moi. La différence entre moi, et beaucoup de gens autour de moi-j’ai effectivement eu un problème avec cela. J’ai eu un problème avec la faim.

Sur le fait de rendre les gens mal à l’aise
Vous devez être suffisamment à l’aise dans votre propre peau dès que vous vous réveillez et vous vous dites: «Bon, aujourd’hui je vais plus vivre dans la zone de confort de quelqu’un d’autre. [Les gens] accordent trop d’importance à ce qui rend les autres mal à l’aise autour de moi – j’ai un réel problème avec ça. C’est la peur, c’est l’insécurité, c’est vivre votre vie au sein de c’est vivre votre vie dans la zone de confort de quelqu’un d’autre. Je ne m’inquiète pas si ce que je fais vous rend inconfortable parce que ça va se faire que l’on ne veuille ou non.

Sur ses défis
Je ne crois pas aux murs, aux niveaux, aux défis, à la politique, aux conneries. Ces choses-là n’existent tout simplement pas dans mon esprit. Tous ceux qui vont essayer d’emprunter mon chemin seront supprimés. Oui, à un moment donné, j’aurai à traiter avec les défis et les enjeux, mais je ne pense pas à ça quand je veux atteindre un objectif.

Sur sa marque de réussite
Je dis cela le humblement possible qu’il soit: j’ai vu beaucoup de gens, beaucoup de chanteurs, comédiens, amuseurs de publics. Ils viennent et ils vont. Mais ma mentalité est (et demeure) la tortue gagne la course. C’est un marathon, pas un sprint. Mais ces artistes, ils sortent et ils crient le > Ils ont le battage médiatique et la fumée et les paparazzis et le tralala, et tout cette merde est comme un grand spectacle public et, ah, les arènes… Et peu de temps après ils disparaissent. Ils s’en vont et ils ne reviennent pas. Donc, je me regarde et je me dis : >. Je ne suis pas. Mais je reste moi. Je crois uniquement au fait de montrer le meilleur de moi.

Sur l’état actuel de la musique
Qu’est-ce qui manque dans la musique ces jours-ci, c’est la conviction. Je ne vous crois pas. Pourquoi parlez-vous de sexe dans vos chansons quand vous ne savez même pas ce que le sexe a de bon? Vous n’avez jamais eu de bonnes relations sexuelles. Vous devez être capable de chanter à propos de ce sujet et venir de ce lieu réel. Les gens pensent que vous pouvez simplement prononcer quelques paroles de sexualité et de prendre un micro et d’avoir une bonne voix, et c’est tout, mais il y a un grand fossé … Je pense que les gens sont convaincus que je sais beaucoup de choses sur l’amour, et j’ai assez de connaissances sur les relations et les défis , et je chante des choses qui sont vraies pour moi. Les gens y connecter parce que c’est vrai et c’est pourquoi ça fonctionne.